5 février 2008
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23:07
Entre deux mots, il faut choisir le moindre.
Se nourrir de vocables allégés en dérivation. Préférer les radicaux libres.
Un taux excessif de suffixes ou préfixes dans le corps de la phrase nuit à la bonne circulation du sens.
Quand le nom dérive du verbe, mieux vaut user du verbe.
Quand le substantif prime et que le verbe en descend, usons du nom.
Quand l'adjectif est premier, laissons-le passer.
Allier la fluidité du verbe à la densité minérale des noms galets où coule la rivière en phrases.
Que l'eau ricoche et ondule, et prête ses reflets à la pierre lisse et dure.
Se nourrir de vocables allégés en dérivation. Préférer les radicaux libres.
Un taux excessif de suffixes ou préfixes dans le corps de la phrase nuit à la bonne circulation du sens.
Quand le nom dérive du verbe, mieux vaut user du verbe.
Quand le substantif prime et que le verbe en descend, usons du nom.
Quand l'adjectif est premier, laissons-le passer.
Allier la fluidité du verbe à la densité minérale des noms galets où coule la rivière en phrases.
Que l'eau ricoche et ondule, et prête ses reflets à la pierre lisse et dure.